ISOPROM réagit à la publication du guide de FFB
Le secteur du bâtiment ne cesse d’évoluer, les transitions énergétiques et numériques, le renforcement des réglementations thermiques, des réglementations incendie et accessibilité illustrent à merveille cette mutation.
Cependant le grand nombre de ces évolutions ne doivent pas faire oublier un enjeu essentiel qui est d’assurer la santé et le confort des occupants. De ce fait la qualité de l’air intérieur devient un enjeu déterminant.
ISOPROM s’engage dans la construction et la réhabilitation de bâtiment toujours plus performants et plus sains.
Un enjeu de santé publique :
L’être humain passe en moyenne plus de 80% de son temps à l’intérieur des bâtiments, de ce fait ISOPROM a un rôle essentiel à jouer pour améliorer et préserver la qualité de l’air intérieur. En effet l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) a évalué à 19 milliards d’euros minimum le coût socio-économique annuel de la pollution de l’air intérieur en France (coût estimé des décès prématurés, de la prise en charge des soins, des pertes de production…).
Le contexte réglementaire :
La RT 2012 a pour but d’améliorer la performance des bâtiments énergétique neuf, elle passe principalement par le renforcement de l’isolation et de l’étanchéité à l’air.
Dans le code de l’environnement, il est noté « le droit reconnu à chacun à respirer un air sain qui ne nuise pas à la santé ».
Les mesures prisent par l’état français :
• 1982 : « fixé des débits de renouvellement d’air minimaux dans les logements »
• 2004 : « arrêté du 22 juillet vient imposer la gestion du risque lié au radon dans les lieux ouverts au public »
• 2011 : « impose la surveillance de la qualité de l’air dans certains établissements recevant du public (crèches, écoles…), modifié en 2015 »
• 2013 : « un étiquetage obligatoire des produits de construction et de décoration, indiquant leurs émissions de COV (composés organiques volatils »
Matériaux et produits de construction :
Depuis 2013 l’étiquetage des produits destinés à un usage intérieur est obligatoire, les informations sur l’étiquette sont fournies par le fabriquant.
Nb : Le niveau d’émission du produit en polluant volatil dans l’air intérieur est classé en quatre niveaux de A+ à C ; la classe A+ étant réservée aux produits les moins émissifs.
ISOPROM met en œuvre des solutions d’isolation intérieur certifiées A+.
L’engagement d’ISOPROM :
Avant les travaux :
• Vérifier l’état de l’isolant et du support existant ;
• Vérifier l’absence de moisissures sur les parois. En présence de moisissures, identifier la cause et traiter avant toute intervention ;
• En cas de présence d’une membrane pare-vapeur, éviter tout percement. S’il y a percement, le réparer à l’aide d’une membrane adhésive adapté ;
• Mettre en œuvre les meilleures solutions techniques pour répondre aux exigences des règlementations thermiques, acoustiques et de protection coupe-feu.
Pendant les travaux :
• Contrôler la qualité de la matière première, ainsi que la mise en œuvre du procédé sur chantier ;
• Réaliser des prises d’échantillons sur chantier pour analyse de la qualité de l’isolant ;
• Poser l’isolant sur la totalité de la surface pour supprimer la totalité les ponts thermiques ;
• Aérer les locaux ;
• Utiliser les équipements de protection individuelle adaptés.
Origines et risques sanitaires des principaux polluants de l’air intérieur :
Conseils au client :
• Être vigilant et traiter l’apparition des moisissures à l’intérieur ;
• Utiliser des produits d’entretien respectueux de l’environnement ;
• Maintenir une température minimale en volume intérieur pour éviter les phénomènes de condensation sur les parois ;
• Assurer le fonctionnement continu de la ventilation du bâtiment (en habitat) ;
• Aérer quotidiennement.